Je vous avais promis de faire un billet sur ce MOOC, le voilà enfin ! Le MOOC de DraftQuest, Ecrire une oeuvre de fiction, saison 5. Organisé par David Meulemans, avec des vidéos animées par Martin Winckler (La maladie de Sachs, Le choeur des femmes).
Déjà, penser à suivre un MOOC sur l'écriture, pour moi, fut une grande nouveauté : j'ai toujours écrit en solitaire, même quand je l'ai fait à 4 mains avec Morgane Sifantus, c'était à distance et chacune devant son écran. Et à l'instinct. Au feeling. La seule fois où j'ai construit un vrai plan, c'était pour ma pièce de théâtre, Ciel rouge le soir, qui m'a permis de mettre en oeuvre tout ce que j'avais appris dans le bouquin de Lavandier, La dramaturgie, et aussi parce que je n'avais encore jamais écrit de théâtre. Pour mes romans, je partais d'une scène, d'un personnage, ou je connaissais la fin mais pas le début, et je me laissais dériver doucement au gré de l'inspiration et du hasard...
Avec le MOOC, ce qui me motivait, outre une réflexion commune sur l'écriture, c'était le fait d'écrire un peu tous les jours, engagement que j'avais déjà pris envers moi-même, mais qui mettait un peu plus de pression si c'était aussi envers les autres (qui au demeurant s'en fichaient sans doute !). Mais finalement, il y a eu bien plus que ça : des échanges avec les autres écrivants, des questions que j'avais déjà vaguement formulées mais qui soudain s'articulaient de façon plus construites, des découvertes (comme les fameux logiciels Scrivener ou Scribbook déjà cités). En bref, une impression d'avancer, d'apprendre, d'être dans le bain, dans mon élément !
Et puis, le point d'orgue : la possibilité à l'issue du MOOC de faire concourir mon roman (celui travaillé pendant le MOOC ou un autre) pour être publié soit par Les Forges (aucune chance pour moi, David l'a déjà lu et refusé) soit par Librinova en numérique avec une possible évolution en papier si un éditeur est accroché. Je ne pouvais pas passer à côté de ça !
Et je me suis tellement prise au jeu pendant ce MOOC que j'attends la saison 6 avec impatience : ce sera l'occasion pour moi de finir le texte que j'ai commencé !
Déjà, penser à suivre un MOOC sur l'écriture, pour moi, fut une grande nouveauté : j'ai toujours écrit en solitaire, même quand je l'ai fait à 4 mains avec Morgane Sifantus, c'était à distance et chacune devant son écran. Et à l'instinct. Au feeling. La seule fois où j'ai construit un vrai plan, c'était pour ma pièce de théâtre, Ciel rouge le soir, qui m'a permis de mettre en oeuvre tout ce que j'avais appris dans le bouquin de Lavandier, La dramaturgie, et aussi parce que je n'avais encore jamais écrit de théâtre. Pour mes romans, je partais d'une scène, d'un personnage, ou je connaissais la fin mais pas le début, et je me laissais dériver doucement au gré de l'inspiration et du hasard...
Avec le MOOC, ce qui me motivait, outre une réflexion commune sur l'écriture, c'était le fait d'écrire un peu tous les jours, engagement que j'avais déjà pris envers moi-même, mais qui mettait un peu plus de pression si c'était aussi envers les autres (qui au demeurant s'en fichaient sans doute !). Mais finalement, il y a eu bien plus que ça : des échanges avec les autres écrivants, des questions que j'avais déjà vaguement formulées mais qui soudain s'articulaient de façon plus construites, des découvertes (comme les fameux logiciels Scrivener ou Scribbook déjà cités). En bref, une impression d'avancer, d'apprendre, d'être dans le bain, dans mon élément !
Et puis, le point d'orgue : la possibilité à l'issue du MOOC de faire concourir mon roman (celui travaillé pendant le MOOC ou un autre) pour être publié soit par Les Forges (aucune chance pour moi, David l'a déjà lu et refusé) soit par Librinova en numérique avec une possible évolution en papier si un éditeur est accroché. Je ne pouvais pas passer à côté de ça !
Et je me suis tellement prise au jeu pendant ce MOOC que j'attends la saison 6 avec impatience : ce sera l'occasion pour moi de finir le texte que j'ai commencé !