Voilà, c'est la première fois que ça m'arrive ! J'ai écrit l'épilogue alors que je suis loin d'être à la fin du roman. Même si je sais depuis le début ce qui va arriver au personnage principal - ce qui est rarement le cas dans mes romans - je ne sais toujours pas pourquoi j'ai ressenti ce besoin urgent de rédiger cette partie finale à ce moment-là.
En fait, l'envie m'est venue brusquement après avoir lu un article sur un art/une pratique que je ne connaissais pas (et que je ne nommerai pas pour que vous ayez quand même quelques découvertes à faire si vous lisez mon livre) et il a fallu que j'écrive, comme si le lien entre ce "truc" et mon histoire était évident, une sorte de parabole. Les mots sont venus facilement, j'ai rédigé d'une traite, et j'ai écrit le mot fin.
Sauf que, bien évidemment, je n'ai pas fini : et même, les pages qui restent à écrire sont sans doute les plus difficiles du livre, les plus lourdes, celles qui vont remuer chez moi le plus de choses. Le gros morceau quoi ! Alors peut-être que mon ange gardien a mis cet article sous mes yeux pour m'inspirer une conclusion, afin que je sois maintenant obligée de me coller aux passages les plus compliqués, et pour me faire comprendre que je vais y arriver, et que, puisque la fin est déjà écrite, je n'ai plus qu'à remplir les blancs : comme un jeu dans un atelier d'écriture !
En tout cas, ce qui ressort de cette expérience nouvelle, c'est que l'on ne peut jamais savoir à l'avance comment un roman va se dérouler : au fur et à mesure de l'histoire, des évènements ont lieu, des personnages naissent, des connaissances s'ajoutent, et nous, les auteurs qui croyons tenir le gouvernail, on se laisse embarquer par les changements de cap, les vents qui se lèvent et les vagues qui nous chahutent... Et c'est ça qui est bon, non ?
En fait, l'envie m'est venue brusquement après avoir lu un article sur un art/une pratique que je ne connaissais pas (et que je ne nommerai pas pour que vous ayez quand même quelques découvertes à faire si vous lisez mon livre) et il a fallu que j'écrive, comme si le lien entre ce "truc" et mon histoire était évident, une sorte de parabole. Les mots sont venus facilement, j'ai rédigé d'une traite, et j'ai écrit le mot fin.
Sauf que, bien évidemment, je n'ai pas fini : et même, les pages qui restent à écrire sont sans doute les plus difficiles du livre, les plus lourdes, celles qui vont remuer chez moi le plus de choses. Le gros morceau quoi ! Alors peut-être que mon ange gardien a mis cet article sous mes yeux pour m'inspirer une conclusion, afin que je sois maintenant obligée de me coller aux passages les plus compliqués, et pour me faire comprendre que je vais y arriver, et que, puisque la fin est déjà écrite, je n'ai plus qu'à remplir les blancs : comme un jeu dans un atelier d'écriture !
En tout cas, ce qui ressort de cette expérience nouvelle, c'est que l'on ne peut jamais savoir à l'avance comment un roman va se dérouler : au fur et à mesure de l'histoire, des évènements ont lieu, des personnages naissent, des connaissances s'ajoutent, et nous, les auteurs qui croyons tenir le gouvernail, on se laisse embarquer par les changements de cap, les vents qui se lèvent et les vagues qui nous chahutent... Et c'est ça qui est bon, non ?
C'est toute la magie de l'inspiration... Ça me fascine à un point !! Mais tu le sais déjà ;)
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