Voilà la période que je déteste le plus : quand le manuscrit a été imprimé et envoyé à un ou plusieurs éditeurs, et que la longue attente commence !
C'est ce qui est en train de m'arriver : mon "petit dernier" est parti par la poste chez un éditeur connu (sur les conseils d'une professionnelle qui l'a lu et apprécié) et voilà, il n'y a plus qu'à ATTENDRE. Se demander si on a bien fait, bien ciblé la maison d'édition, rédigé assez finement la lettre d'accompagnement, pas visé trop haut, etc... Et ne rien savoir pendant des mois.
Et puis, ce roman, je l'ai déjà envoyé à dix éditeurs, et je n'ai eu que des refus...ou des silences. Alors je finis par ne plus y croire. Sauf que. Si je n'y croyais plus j'aurais cessé de l'envoyer. Tout ça tourne dans ma tête, et y tournera pendant des semaines. Ainsi que des phrases entendues ça et là, prononcées par d'autres auteurs, comme celle-ci : "On reçoit 10, 20, 30 lettres de refus, et puis un jour, un coup de fil : votre bouquin m'intéresse !". Donc il faut croire que les bonnes nouvelles arrivent plutôt par téléphone. Zut ! Est-ce que j'ai bien mis mon numéro ? Le bon numéro ? Encore des questions sans réponses...
Alors en attendant (grrr....comme je déteste ce mot !), le mieux serait d'écrire, de commencer autre chose. Evidemment, j'y pense. Mais ce n'est pas si simple : le texte précédent ne m'a pas vraiment lâchée, il ne vole pas encore de ses propres ailes puisque personne n'a pris le relais...Il va falloir encore un peu de temps avant qu'une idée germe au fond de mon cerveau, que les personnages avec qui j'ai vécu pendant des mois laissent la place à d'autres, que l'urgence de recommencer une histoire me saisisse et me jette devant mon ordinateur pour tracer les premiers mots d'un nouveau roman.
Il va juste falloir ATTENDRE.
C'est ce qui est en train de m'arriver : mon "petit dernier" est parti par la poste chez un éditeur connu (sur les conseils d'une professionnelle qui l'a lu et apprécié) et voilà, il n'y a plus qu'à ATTENDRE. Se demander si on a bien fait, bien ciblé la maison d'édition, rédigé assez finement la lettre d'accompagnement, pas visé trop haut, etc... Et ne rien savoir pendant des mois.
Et puis, ce roman, je l'ai déjà envoyé à dix éditeurs, et je n'ai eu que des refus...ou des silences. Alors je finis par ne plus y croire. Sauf que. Si je n'y croyais plus j'aurais cessé de l'envoyer. Tout ça tourne dans ma tête, et y tournera pendant des semaines. Ainsi que des phrases entendues ça et là, prononcées par d'autres auteurs, comme celle-ci : "On reçoit 10, 20, 30 lettres de refus, et puis un jour, un coup de fil : votre bouquin m'intéresse !". Donc il faut croire que les bonnes nouvelles arrivent plutôt par téléphone. Zut ! Est-ce que j'ai bien mis mon numéro ? Le bon numéro ? Encore des questions sans réponses...
Alors en attendant (grrr....comme je déteste ce mot !), le mieux serait d'écrire, de commencer autre chose. Evidemment, j'y pense. Mais ce n'est pas si simple : le texte précédent ne m'a pas vraiment lâchée, il ne vole pas encore de ses propres ailes puisque personne n'a pris le relais...Il va falloir encore un peu de temps avant qu'une idée germe au fond de mon cerveau, que les personnages avec qui j'ai vécu pendant des mois laissent la place à d'autres, que l'urgence de recommencer une histoire me saisisse et me jette devant mon ordinateur pour tracer les premiers mots d'un nouveau roman.
Il va juste falloir ATTENDRE.
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