Voilà, c'est reparti ! Enfin je crois... Je tiens le début de la naissance de l'embryon d'une idée pour un nouveau roman. Ces derniers mois, je me suis beaucoup occupée de mes deux derniers : celui qui est sorti en juillet et dont il faut faire un minimum la promo, dédicace, salon, marché de Noël, vente sur facebook, etc., et celui en attente d'éditeur qui est maintenant dans la pile d'un comité de lecture d'une maison bien connue (je croise tous les doigts !)...et donc il n'y avait aucune partie de mon cerveau disponible pour donner vie à d'autres idées. Je n'étais pas prête.
Et puis, depuis une ou deux ou trois semaines, je sens que je vais m'y remettre, qu'il le faut, que ça me démange, que quelque chose pousse dans le noir, mais j'ai beau fouiller, rien ne sort encore, tout est souterrain, enfoui, obscur, je ne parviens pas à saisir le moindre filament de cette histoire qui se cache dans l'imbroglio de mes neurones.
Jusqu'à ce soir. Une discussion au téléphone avec mon fils. Un simple dialogue où l'on échange nos impressions et nos quotidiens, où on plaisante, où on se laisse aller à dire tout et n'importe quoi, et d'un seul coup, le sujet est là. Et un ou deux personnages. Et la fin. Et lorsque je m'assois devant mon ordi, je trouve la première phrase, le fameux incipit qui donne l'élan au récit (ou pas : pour John Irving, c'est la dernière chose qu'il écrit !).
Alors yapluka. Se laisser porter par ces premières vagues, les laisser devenir des déferlantes, inventer la vie des héros, construire pierre à pierre, mot à mot, le chemin qui va les mener vers le dénouement vaguement entrevu, se mettre devant le clavier, rêver, chercher, écrire, raconter, créer, voguer, écouter le souffle de cette vie ténue. Bref : accompagner ce nouveau roman en gestation. Je vais m'y mettre, je m'y mets, j'y suis !
Et puis, depuis une ou deux ou trois semaines, je sens que je vais m'y remettre, qu'il le faut, que ça me démange, que quelque chose pousse dans le noir, mais j'ai beau fouiller, rien ne sort encore, tout est souterrain, enfoui, obscur, je ne parviens pas à saisir le moindre filament de cette histoire qui se cache dans l'imbroglio de mes neurones.
Jusqu'à ce soir. Une discussion au téléphone avec mon fils. Un simple dialogue où l'on échange nos impressions et nos quotidiens, où on plaisante, où on se laisse aller à dire tout et n'importe quoi, et d'un seul coup, le sujet est là. Et un ou deux personnages. Et la fin. Et lorsque je m'assois devant mon ordi, je trouve la première phrase, le fameux incipit qui donne l'élan au récit (ou pas : pour John Irving, c'est la dernière chose qu'il écrit !).
Alors yapluka. Se laisser porter par ces premières vagues, les laisser devenir des déferlantes, inventer la vie des héros, construire pierre à pierre, mot à mot, le chemin qui va les mener vers le dénouement vaguement entrevu, se mettre devant le clavier, rêver, chercher, écrire, raconter, créer, voguer, écouter le souffle de cette vie ténue. Bref : accompagner ce nouveau roman en gestation. Je vais m'y mettre, je m'y mets, j'y suis !
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